Si vous avez amené votre cigarette électronique en vacances au ski avec vous, vous avez probablement remarqué que l’apparence de votre e-liquide avait changée. Peut-être même avez-vous constaté des dysfonctionnements dans votre matériel ? Doit-on en conclure qu’il est dangereux de vapoter au ski ? Comment protéger son matériel le cas échéant ?
Que risque une cigarette électronique fasse au froid ?
Les parties mécaniques des box et atomiseurs ont été pensées pour résister aux températures. Pour ce qui est des parties métalliques, si elles vont devenir très froides au toucher, elles ne risquent rien. Même constat pour le Pyrex, un verre à très haute résistance pensé pour ne pas subir de dommages avec les variations climatiques, et même avec les écarts soudains de température. Seuls les impacts pourraient donc abîmer vos réservoirs.
Concernant l’électronique les composants sont prévus pour fonctionner normalement de 0 à 40°. Cependant, ils ne cesseront pas de fonctionner en cas de température qui franchissent la barre du zéro.
Quel est alors le risque de vapoter au ski ? Tout d’abord, l’eau et l’électricité n’ont jamais été très amis. Si votre cigarette électronique venait à givrer (oubli à l’extérieur par exemple), cela deviendrait problématique. En outre, après une longue exposition au froid, de la condensation peut se former à l’intérieur de la box lorsque vous rentrez dans une zone plus chaude.
Comment protéger sa cigarette électronique au ski ?
Mettez votre cigarette électronique dans la poche intérieure de votre veste pour la tenir au chaud.
/!\ Les batteries fonctionnent moins bien avec le froid. Qui plus est, on ne charge jamais une batterie froide !