Suite à la demande de l’Institut national de la consommation en avril 2014, l’Afnor a planché sur une série de normes. TF1 news revient sur sur ces dernières, dont l’objectif est de faire connaitre la composition des produits que les vapoteurs consomment, et d’édicter un certain nombre de règles d’usage.
Norme française sur la cigarette électronique : ne pas vapoter plus de 10 secondes
Suite aux études pointant du doigt la surchauffe de l’appareil, notamment celle précisant que la cigarette électronique serait 5 à 15 fois plus cancérigène que la cigarette au tabac, en cas de mauvaise emploi du produit, une des normes du projet consiste à alerter le consommateur à ce sujet. La norme stipule ainsi que la vaporisation ne devra pas être prolongée au-delà de 10 secondes, et que les appareils devront être équipés d’un système la bloquant à ce niveau.
Norme française sur la cigarette électronique : sept tests pour les appareils
Les tests ont pour objectif de vérifier que la cigarette électronique ne comporte aucune faille. Qu’elle ne coupe pas, qu’elle ne puisse blesser personne, qu’elle n’explose pas, et qu’elle ne fuie pas. Les revêtements doivent retenir le produit, et ne libérer aucune substance toxique.
Norme française sur la cigarette électronique : des ingrédients de qualité pharmaceutique
Les ingrédients employés dans les e-liquides devront être de qualité « pharmaceutique » et alimentaire. Tous les composants cancérigènes, ou toxiques doivent également être absents.
Norme française sur la cigarette électronique : l’information du consommateur
Le vapoteur doit savoir ce qu’il consomme. C’est pourquoi la norme comporte une mention obligatoire de la composition des produits mais aussi de l’identité des différents acteurs, les consignes d’emploi,…